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ANTIBIOTOC
16 mai 2012

85. Tournout - Saison 2 [Ep. 05]

ART-CUBE Pierre-Yves Le Strat-10


/!\ Cette saison est fortement déconseillée aux mineurs - contenus explicites /!\ 

 

En première classe – suite impériale.

 

Assis, en face les vitres opaques, j'enfonce mon majeur dans sa chatte. Trois autres instantanément, en suite, sans sourciller. Elle mouille à mort – s'écoulant le long de mon avant-bras. Son vagin est si doux... si chaud. Elle gémit. Souffle par de longs à-coups. C'est elle qui pousse pour que tout entre, se mordant les lippes et jurant.

Je sens son cœur, fort, je le tiens presque dans ma main. Seul, j'ai laissé mon pouce dehors et il se frotte à son clitoris de plus en plus moite, écarlate, durci, mon poignet est enrobé par de très fines lèvres imberbes. Je contracte les muscles de ma pogne et mes doigts – métronomique – et je la sens vivre. L'orgasme. Encore. Du liquide évanescent que j'essaye de récupérer pour lui donner.

Je me suis pas rendu compte qu'elle se mordait le poing. Je regarde sa poitrine ronde, ferme, tendue. Tout comme le tissu du caraco quand elle cambre le dos. Elle sort sa main de sa bouche. « Fuck... that's BANG ! » c'est ce qu'elle a dit. Elle me reprend en bouche.

Bang, ok, on va baiser.

Je l'attrape par le bassin et tire son magnifique cul à ma bouche. Elle n'y peut rien, j'use de trop de force, et je bouffe sa chatte. À l'endroit, à l'envers – il y a qu'on est entré là sans avoir vu de lumière. Je l'avale goulûment, laissant mon palais et visage se faire inonder. J'entre ma langue au plus loin – le nez dans son vagin – et plante mes ongles sur ses fesses, avec fougue. Je lui en claque une – au passage. Bang ! Belle marque amarante. Je file sous son haut, toutes griffes dehors, elle me lèche le haut des bourses, je lui caresse le sein – je veux qu'elle ne me sente à peine, rien qu'une brise –, monte vers la cime, titille le téton. Je veux qu'elle frisonne encore.

À travers les vitres troubles je devine un contrôleur. Sombre, je regarde son visage embrumé derrière les portes. Je crois qu'il saisit ce qu'il se passe. Elle, ne remarque rien, me drogue un peu plus – mouvements de la nuque. Subtils, la langue, le piercing, sa maîtrise de la fellation. Le contrôleur, en-dehors, ne bouge pas, mon bras tremble, mes sourcils pas.

Il s'en va. Ça s'est passé tellement en douceur, si concentré que j'étais, que ce n'est qu'en la regardant à nouveau que je remarque qu'elle m'embrasse la verge avec d'autres lèvres, que je suis au bord du gouffre, de sa fente, le jouet. Elle ne fait entrer que mon gland et serre ses muscles, pour le ressortir et s'en caresser le cratère. Je lui lacère les reins. Nous faisons du bruit.

D'un coup, la voilà à genoux, et je sens, j'entre placidement, tout en elle. Je rougis – un instant – son visage écarlate. Elle ne fait pas les choses à moitié. Je touche le fond. Gémit. Moi aussi. Elle est d'une divine étroitesse. Je fais danser mon bassin – corps à corps. Tout connaître. Tout sentir. Tout entière. Elle chevauche, les brides aux vents. Je ne reconnais pas ma bite. Magnifique. Mais elle doit manquer de brillant parce qu'elle la sort et se remet à me sucer. Ça à l'air bon – et ça l'est. Je lui mets index et majeur bien profonds avant de les lui faire lécher. Ce qu'elle fait religieusement.

J'entre de mon propre gré d'un coup, rude, menottant ses hanches. « OH ! » Ressorts tout doucement – et cette étroitesse... – pour lui remettre la même, en doublé, plus violent encore. Fortes onomatopées. On enjoy le moment. « Bang, c'est bien ce que t'as dit ?

  • (Son museau pointe le sommier du lit superposé :) I'm here to bang ! »

J'imagine qu'on a pensé au même film.


_______________________

 

 

Photo : Pierre-Yves le Strat


Édit : J'ai du changé la photo d'illustration pcq une dame s'est sentie quelque peu gêné d'illustrer une telle prose. Dsl pour elle, et sourtout pour vous lecteurs.

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